Crise du charbon en Inde

L'Inde critiquée pour le charbon à la COP26 - mais le vrai méchant était l'injustice climatique : The Guardian

(George Monibot est un écrivain britannique connu pour son activisme environnemental. La chronique est parue pour la première fois dans The Guardian le 15 novembre 2021)

 

  • C'était une décision dramatique de la 11e heure, décrite comme un coup dévastateur pour le succès de la Cop26. Après des pressions exercées par l'Inde et la Chine, le libellé de l'accord final a été édulcoré à un engagement de « réduction progressive » plutôt que d'« élimination progressive » du charbon. Alok Sharma, le président de la Cop26, était au bord des larmes alors qu'il expliquait ce qui s'était passé et la modification de dernière minute a provoqué de vives réprimandes de la part des États-Unis et d'autres pays. Alors que c'est la Chine qui aurait fait pression pour un assouplissement du langage sur le charbon lors des négociations finales, c'est le ministre indien de l'environnement, Bhupender Yadav, qui a lu une nouvelle version du pacte de Glasgow qui utilisait l'engagement édulcoré envers un " réduction progressive » du charbon. Beaucoup ont émis l'hypothèse qu'il incombait à l'Inde seule d'annoncer l'assouplissement du langage sur le charbon, car cela était considéré comme plus acceptable qu'une intervention de la Chine…

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